Parce que la méditation est le remède des maux de notre société.
Depuis que le Time, il y a un an, a comparé le phénomène à une révolution, la méditation n’a cessé de faire des émules. Adoptée dans un nombre croissant de grandes entreprises, objet de centaines d’ouvrages (dont le culte Connectez-vous à vous-même, de Chade-Meng Tan, ingénieur chez Google, éd. Belfond), sa pratique est désormais validée par une kyrielle d’études prouvant ses bienfaits (concentration, immunité, maladies cutanées). Sans compter l’évident bénéfice sérénité.
En occident, la méditation passe parfois pour un concept fourre-tout, où se mélangent pratiques spirituelles, méthodes laïques de relaxation et une foule de disciplines liées au bien-être. Pour permettre aux non-initiés de s’y retrouver, voici un petit guide des différentes écoles réparties en 2 catégories : les méditations immobiles où seul le mental est mis à contribution et les méditations en mouvement qui sollicitent à la fois le corps et l’esprit.
Les méditations immobiles
Le ZEN : un apprentissage du lâcher…
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